mercredi 27 avril 2011

Jacques Politi, le Goleador

Après la démission de François Carassan, sans doute trop cultivé aux yeux de Jacques Politi, que croyez-vous qui arriva? Que Dalmas ou Di Russo auraient été nommés pour leur compétences? Et bien non, ce fut Golé qui l'emporta!

Mais pas n'importe comment, car les observateurs attentifs du conseil municipal ont noté que Jeannine Golé a été promue par simple effet mécanique puisqu'elle était 2e adjointe.



Promue certes, par la volonté du monarque Politi, mais elle n'a pas été élue par le Conseil. Quelle est donc sa légitimité de première adjointe? Politi aura-t-il eu peur de voir sa majorité se déchirer comme une feuille de papier de cigarette sur une élection? Avait-il conscience que Jeannine Golé avait peu de chances dans une élection à la loyale au sein du Conseil?


Même Jaubert, le social-traître des socialistes hyérois, classe Pellegrino 13e adjoint avant Golé pourtant néo-1ère adjointe dans son article sur son blog, et fait bien la distinction entre désignation pour Golé et élection pour Pellegrino.

jeudi 7 avril 2011

Sur quels critères le maire choisira-t-il son nouveau (nouvelle) 1er adjoint ?


Depuis la destitution de François Carassan, votée à mains timidement levées et embarrassées, le 31 mars 2011, nombreux sont les candidats à lorgner sur le fauteuil du premier adjoint, fidèle de Ritondale.
Dans l’arène, au moins quatre candidats sont en lice :
-          Dalmas, Michel : adjoint aux finances et au tourisme, secrétaire général de la chambre de commerce régionale
-          Pilon, Christine : adjointe à la sécurité, sans profession
-          Golé, Jeanine: adjointe au commerce, retraitée
-          Di Russo, Elie : adjoint à l’agriculture, ancien proviseur (retraité).










Qui va gagner ? 
Sur quels critères le maire va-t-il choisir son nouveau premier adjoint : la plus grande compétence ou la plus petite gêne pour les autres ?

Les absents ont toujours tort


Le conseil municipal du 31 mars a bien débuté : provoqué par le maire qui a fait distribuer en début de séance un exemplaire du Canard Enchaîné évoquant une affaire hyéroise que Giran avait dénoncée à la justice, le député et conseiller municipal n’a cette fois-ci pas claqué la porte. 
Il a préféré manifester son indignation devant l’assistance. 
Il a peut-être compris que les absents avaient toujours tort.

Ambiance au Conseil général


Lors du dernier conseil municipal, Francis Roux, Conseiller général et municipal, a polémiqué vivement avec le maire, Jacques Politi, sur le budget. 

Francis Roux a fait remarquer au maire, ce qui ne lui a pas plu, que le budget 2011 ne fait encore que traduire les réalisations envisagées par son prédécesseur, Léopold Ritondale (1920-2008). 

Ça promet de l’ambiance au Conseil général, quand on sait qu’ils vont siéger dans le même groupe…

mercredi 6 avril 2011

Un maire peu fraternel


Quelques mois avant les élections municipales de 2008, un certain Jacques Politi, pharmacien de son état et simple conseiller municipal d’Hyères, décide de devenir Franc-Maçon, sans doute par aspiration philosophique. 

Il entre à la Grande Loge Nationale Française (GLNF, proche de l’extrême-droite).
Quelques mois plus tard, il choisit de la quitter. Une fois élu, l’aspiration philosophique s’est vite épuisée. Hélas, beaucoup n’ont pas trouvé la démarche très fraternelle…

mardi 5 avril 2011

Jacques Politi, Domenech hyérois


Lors du conseil du 31 mars, le docteur Noyer (groupe PS) a fait une longue intervention sur le Mercato politique à Hyères, évoquant le transfert d’Alain Jaubert vers l’équipe du maire Jacques Politi. 

Piqué au vif, Jaubert a voulu se justifier  en disant que s’il a changé d’équipe, il n’a pas changé de maillot. Comprenne qui pourra ! Car lors des cantonales, le maire n’a pas donné l’impression de partager les valeurs de la gauche ni même celles de l’UMP. 

Jacques Politi serait-il le Domenech hyérois ?

dimanche 3 avril 2011

Le maire enregistre des transfuges…virtuels, indemnisés sur les deniers publics



Philippe Ollivier (groupe UMP) avait disparu depuis les élections de mars 2008. Il n’a, sauf erreur, jamais participé à aucun conseil municipal. Il n’a pourtant pas démissionné et continue donc de percevoir en toute logique ses indemnités d’élu pour un travail qu’il n’effectue pas.

Il vient pourtant d’annoncer son ralliement au groupe du maire… Les habitudes sont tenaces et les comportements surprenants, quand on observe qu’il n’était pas présent lors du conseil municipal du 31 mars et qu’il a donné procuration à … Alain Jaubert (PS mais dans la majorité municipale).

Voilà qui contraste avec l’attitude de François Carassan, ex-1er adjoint, qui en démissionnant a renoncé à plusieurs milliers d’euros par mois.

 Alors à quand le prochain transfert ? 
Et surtout qui va recueillir  les morceaux de la dépouille de Carassan ?

samedi 2 avril 2011

À Hyères la félonie est récompensée par le maire


Alain Jaubert (Parti Socialiste) et Serge Nuzzo (groupe UMP) ont rejoint  le groupe du maire il y a un an.  

 Espéraient-ils quelque-chose?

Que leur avait-il été promis ? 

Une phrase du maire nous a fait réfléchir à ce propos lors du conseil municipal du 31 mars 2011 : « Ils ont été patients. Ils vont être récompensés par une délégation et une indemnité » (Jacques Politi)…

vendredi 1 avril 2011

Avoir une majorité à sa main…



Le conseil municipal du 31 mars 2011 a voté, procédure voulue par le maire, à main levée la destitution du 1er adjoint François Carassan. Cette procédure a gêné semble-t-il plus d’un conseiller municipal. 

Dans le propre groupe du maire, dont est issu François Carassan, on a observé que les mains étaient plus ou moins levées. De nombreux membres de la majorité municipale avaient un boulet dans la main à ce moment-là, et on les comprend. 

De là l’expression « avoir une majorité à sa main » ?