mercredi 28 septembre 2011

Les indiscrétions d’Hyères et de demain

En proposant au conseil municipal de financer sa plainte personnelle contre notre blog, Jacques Politi a voulu nous intimider en bombant le torse et surtout il voudrait bien nous faire taire. Et bien il s’est trompé !


Plus que jamais nous allons passer au crible de l’ironie et de la satire sa politique et son comportement. Car il n’y a rien de diffamatoire à souligner le fait que les actes de Jacques Politi contredisent presque toujours ses paroles.



Quand il dit vouloir réserver le HFC aux Hyérois et qu’il commence par y placer des « estrangers » !

Quand il monte des murs à la gare pour les détruire avant de les remonter !

Quand il présente son chapiteau pour les associations comme un succès alors qu’il signe une fois de plus une défaite en rase campagne par son inaction et son isolement au sein de TPM.



Quand il fait volte-face sur le Parc de Port-Cros, lui trouvant toutes les vertus après avoir en des termes violents dénoncé tous les défauts.

Quand il use et abuse des directeurs généraux de service, de l’urbanisme, de la communication, du tourisme, du personnel, de collaborateurs de cabinet et nous en passons, établissant un record d’instabilité dans la gestion d’une collectivité territoriale. Cela a commencé dès son élection avec la mise en cause des personnels de la médiathèque.



Quant à ceux qui, au conseil municipal, l’ont accompagné dans le vote, nous ne manquerons pas de souligner bientôt leurs incohérences.

Un premier exemple : Alain Jaubert. En 2009 dans Var-Matin il traitait l’action de Jacques Politi de « mollasse, insipide, … sans saveur »... 

Il concluait: «les Hyérois vont devoir patienter ou espérer un miracle... La Ville ne mérite pas çà.»

Et pourtant aucune plainte n’a été déposée par Jacques Politi contre lui! Il est vrai que l’auteur de ces critiques assassines s’appelait Alain Jaubert et qu’il a depuis été «transféré» pour devenir le plus fidèle zélateur de Jacques Politi !

En fait dans cette ambiance de cirque nous devons employer un vocabulaire de clown.

Jadis Jaubert c’était Auguste, celui qui fait rire avec son gros nez rouge. Maintenant Jaubert c’est Pierrot, celui qui fait pleurer avec son teint blafard.

Alors nous poussons un cri: «rendez-nous le vrai Alain Jaubert»!

2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Tout à fait d'accord avec votre florilège de la gestion municipale, au bémol suivant :
    Quand vous dites "Rendez-nous le vrai Alain Jaubert", moi qui suis un de ses 4004 électeurs bafoués, j'ai envie de vous dire "Au contraire, surtout gardez-le, on n'en veut plus !!!"

    Continuez longtemps ce blog : un peu de contradiction ne fait pas de mal à la démocratie...

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