vendredi 23 décembre 2011

La gaminitude de Jacques Politi grondé par le Préfet





Le préfet, dans le cadre du contrôle de légalité des actes municipaux, a enjoint Jacques Politi, maire de Hyères, de rapporter la délibération illégale du conseil municipal du 23 septembre 2011 relative à l’expression de l’opposition dans le journal municipal.

En effet Jacques Politi a fait intrusion dans la seule page du bulletin municipale réservée à l’opposition, sans modification préalable du réglement municipal et contrairement à la Loi. La Majorité dipose en effet de 23 pages avec photos pour s’exprimer. Le Préfet lui demande d’utiliser  un espace dans l’une de ces 23 pages et non pas dans celle réservée à l’opposition.

Mais voilà que notre inénarable Jacques ne veut pas admettre ses torts, comme un vilain petit garçon qui va bouder sans vouloir reconnaître ses torts après avoir été grondé par ses maîtres. C’est sûr et il le clame haut et fort dans Var-Matin, il est «dans son bon droit». Et de prendre des exemples parfois proches de Narbonne, où la loi n’est pas respectée...

Oh le vilain petit garçon! Et le voilà qui récidive en conseil municipal du 20 décembre 2011. Il n’exécutera pas les ordres du préfet! «Non mais, pour qui se prend-t-il celui-là?», se demande notre garnement qui ne veut pas montrer son sentiment d’infériorité face à Giran et à Carrassan.

Jacques Politi c’est la « gaminitude » !

jeudi 22 décembre 2011

Jacques Politi roi fainéant ou Hyères, ville ruinée ?






Après le vote du budget primitif de Hyères pour 2012, l’on peut légitimement s’interroger sur l’état des finances de la Ville ou sur l’inaction du maire d’Hyères Jacques Politi depuis son élection :

- quand des coupes sombres de plusieurs millions sont faites au niveau de l’investissement (abandon du musée par exemple)

- mais que les dépenses de fonctionnement continuent bon train pour certains élus (bureaux de luxe, fortification biométrique high-tech du 5e étage de la mairie, nombreuses réceptions, voiture de fonction avec chauffeur pour le maire, Jacques Politi, avec laquelle il se rend au Conseil général?...) et que 80 000 euros sont gaspillés dans une plaquette publicitaire luxueuse (28 pages en quadrichromie) pour faire croire que le maire Jacques Politi travaille, que 30 000 euros sont encore dépensés dans un rapport d’autosatisfaction éhontée sur le développement durable

- quand les services de la mairie (ceux qui travaillent au service de leurs concitoyens) voient leurs budgets diminuer et se gèlent dans leurs bureaux

- quand un réseau inutile de vidéosurveillance des Hyérois  est créé pour 3 000 000 d’euros

- quand il faudra payer la maintenance des ces caméras, maintenance dont le coût est inconnu et non budgété

- quand aucune des annonces faites par le maire d’Hyères, Jacques Politi, n’est financée

- quand on voit que les impôts ont augmenté de 5,8% en 2008, 4,6% en 2009 et 7,2% en 2010 (Var-Matin du 11 mai 2011),

- quand on voit que l’Hôtel des Associations promis se transforme en un misérable chapiteau éphémère derrière l’Espace 3000, jettant par la fenêtre l’argent de nos impôts à hauteur de 500 à 600 000 euros par an,

- quand on voit que les bijoux de famille, le patrimoine de la ville, est bradé à des promoteurs au lieu de le valoriser comme la villa Sainte-Anne.

La question est : comment Jacques Politi a-t-il pu ainsi dilapider l’argent des Hyérois en 3 ans ?

S’il vous répond: « c’est la faute de la crise grecque», c’est qu’il se prend pour le Papandréou hyérois ou que c’est un roi fainéant!

jeudi 8 décembre 2011

Giran Roi de coeur et As de pique

"Jean-Pierre Giran: J'ai Hyères dans mon coeur"!
C'est le titre du "Face à la rédaction" de notre député.
Giran est-il seulement le roi de coeur de Hyères?

Car Politi en prend pour son grade:
- déficit de fonctionnement démocratique
- fébrilité inquiétante et taux de rotation de l'administration
- 80% d'abandon des projets:
- Le port Saint-Pierre: rien
- Le centre-ville: rien
-  l'hôtel des associations: rien
- l'école de musique: rien
- l'école d'infirmières: rien
- Le musée: oublié
- Le pôle multimodal: avorté
Restent la com' et les effets d'annonce de Politi, ainsi que la transformation de Hyères en "capitale française de la vidéosurveillance".

Giran ne serait-il pas aussi l'as de pique, le mistigri que Politi voudrait bien ne pas avoir en face de lui? Ce qui est sûr c'est qu'avec son revirement total sur Port-Cros, Politi y a perdu le peu de crédibilité qui lui restait et qu'il n'y trouvera pas, même en coeur... de parc, le trèfle à quatre feuilles qui lui fait défaut.

Politi, sans trèfle, avec contre lui le roi de coeur et l'as de pique, sera-t-il le valet qui restera sur le carreau?

mardi 29 novembre 2011

Pierre Philip: fier d’être mécontent, et après?


Baptême du feu médiatique après les cantonales pour Pierre Philip, candidat PS avoué à la mairie d’Hyères.


De celui qui se pose en sauveur de la gauche locale et de la ville (pas moins), l’on attendait de grandes idées struturelles sur le futur d’Hyères.


Et bien rien, que l’annonce d’un «mécontentement»! On pouvait s’attendre à mieux, à un esprit rassembleur, une force de proposition, et voilà qu’il nous sert la soupe du militant aigri et de l’homme satisfait de lui-même qui balance de bons mots et calembours, plus ou moins réussis, sur les uns et les autres. En tant qu’électrices, nous nous attendions à mieux.


Le plus fort pour un homme de gauche c’est de faire de sa naissance un argument électoral. Finalement ne joue-t-il pas le jeu de Jacques Politi et de Christine Pilon, fondatrice de «La Souche Hyéroise», directrice de cabinet de Jacques Politi, 3e adjointe en titre (1ère adjointe officieuse)? En tout cas ce n'est pas très républicain.

Jacques Politi nouvelle Dalida: «Paroles, paroles...»




Le Figolin hyérois, Jacques Politi, a décidé d’ignorer les votes pourtant démocratiques et unanimes de son propre conseil municipal intervenus depuis 2 ans pour instaurer un musée qui fait défaut à Hyères pour gaspiller 3 000 000 d’euros dans des caméras de surveillance très hautes performances totalement inutiles dans une ville comme la nôtre sauf pour espionner les Hyérois.

Ce sera sa seule réalisation.

Le reste n’est que paroles en l’air, du vent:

  •  sur le port, «on souhaite que ce soit mis en route», «nous y réfléchissons», «il faudra peut-être un jour que...», et cette conclusion rassurante sur son «action»: «il faut réfléchir»!
  •  sur les pôles santé et horticulture: «le projet fait son chemin» (doucement alors), «il devrait», «d’autres enseignes pourraient», le pôle santé lui «devrait accueillir». «Quant au pôle horticole, on travaille dessus»: que des annonces concrètes qui témoignent de l’inaction volontaire de Jacques Politi pour Hyères.
  •  sur le parc n ational de Port-Cros, dont on connaît la passion pour Jacques Politi, lui qui avait déclaré sans rire que Hyères serait amputée de 1000Ha et qui vote pour et contre dans la même journée, et bien «discuter de l’avenir est important»: véritablement impressionnant. Quelle pensée!
Après nous avoir avoué son admiration pour Ségolène, Jacques Politi se prend pour Dalida et sa célèbre chanson «Paroles, paroles...».

Bon il y a quand même un point sur lequel Jacques Politi travaille avec force et détermination: ce sont les PV à la Gare. Il l’affirme avec force: «quand on vient me voir pour obtenir une clémence, je dis non: si le PV a été dressé, c’est qu’il y avait une raison!».

Même quand on stationne quelque minute sur le parking, bien garée sur une place de stationnement, en zone bleue, mais ... sans disque, ... une amende de 17euros. Quel bon maire ce Jacques Politi !

dimanche 27 novembre 2011

La France a sa Ségolène, avec Jacques Politi Hyères a son Figolin


Même Var-Matin a remarqué le néologisme ridicule de Jacques Politi dans son interview en double-page de Var-Matin ce lundi 21 novembre 2011: Jacques Politi veut donc défendre la «Hyéritude»: comprenne qui pourra. En tout cas cela rappelle notre Ségolène nationale et sa «bravitude» tout aussi ridicule.

Remercions toutes et tous notre Figolin local d’avoir ainsi égayé l’hiver hyérois qui s’annonce... Hyères se gondole de rire!

A commencer par les journalistes de Var-Matin qui ne sont toujours pas revenu(e)s de voir un maire conseiller général vice-président de TPM énoncer sur un ton docte de telles débilités.

samedi 19 novembre 2011

Où passe l’argent de nos impôts?


Selon le magazine Capital, Hyères est l’une des villes qui a connu le plus fort taux d’augmentation des impôts de France.

Var-Matin a fait un sondage la semaine dernière en posant la question:
«Estimez-vous que les service rendus par la ville sont à la hauteur de vos impôts locaux ?»
Et les Hyéroises et les Hyérois ont répondu NON à 84%!!
Les impôts augmentent mais cela ne se traduit pas dans la ville.

Où sont donc passés nos impôts?

3 000 000 euros pour des caméras de surveillance plus dangereuses pour la vie privée qu’utiles pour la «sécurité». Un seul exemple: la caméra au niveau de la pharmacie du Fenouillet (dite Pharmacie Politi) n’a aucunement empêché le braquage de l’agence HSBC ni permis d’en appréhender les auteurs...

450 000 euros pour le mur fait, défait, refait, et surtout inutile du Roubaud sur caprice pré-électoral de Jacques Politi candidat aux cantonales et affolé par l’absence de réalisations dans le quartier de la Gare comme ailleurs dans Hyères

120 000 euros pour rater la réfection de la fontaine Galliéni et enfreindre la loi

+ de 16 000 euros pour les bureaux de Christine Pilon et Patrice Millet

Combien pour les réceptions en mairie?

Et le reste où cela est-il passé? Hyères est décidément une ville mal gérée. Pardon c’est la faute à la crise grecque... ! dixit Jacques Politi.

jeudi 17 novembre 2011

Jacques Politi, le Papandréou hyérois




Si jacques Politi lâche le musée pour installer ses caméras de vidéosurveillance ce n’est pas pour enterrer tout projet culturel à Hyères, après la vente sans aucune plus-value de la Villa Sainte-Anne à des promoteurs. Non ce que dit Jacques Politi pour sa défense c’est que c’est à cause de ... «la crise grecque»!...
C’est sûr il se prend pour le maire d’Olbia, ancienne colonie grecque... Et comme les ennemis rôdent, il installe des caméras de surveillance...

mardi 15 novembre 2011

Jacques Politi lâche le musée pour ses caméras de surveillance




Et encore un projet - de l’équipe Ritondale, rassurez-vous, il n'a toujours pas idée de ce qu'il va faire de son mandat- qui est abandonné par Jacques Politi, le malencontreux maire d’Hyères.

Il abandonne les 3 600 000 euros d’investissement prévus pour le musée pensé par Carrassan mais il garde les 3 000 000 d'euros pour ses caméras de surveillance de la population.

Plus que jamais Hyères est le tombeau de culture. En fait de Festival du film, Jacques Politi inaugure un nouveau genre à Hyères: le Festival du Film de Surveillance...

dimanche 13 novembre 2011

Jacques Politi vote «Contre» à TPM le matin et «Pour» à Hyères l’après-midi

Var-Matin du 23 juillet 2011 nous rend compte du conseil communautaire de TPM du 22 juillet au matin. A l’ordre du jour, le projet d’extension du Parc national de Port-Cros. Le vice-président de TPM, Jacques Politi, ne défend pas le projet et suit ses meilleurs ennemis Marc Giraud (Carqueiranne) et Christian Simon (La Crau).

Il est vrai qu’il était jusque là l’un des opposants au Parc les plus virulents avant de faire une volte-face complète et de se déclarer, en espérant sans doute la rémunératrice présidence du Conseil d’administration, en faveur du Parc (évidemment personne ne l’a cru sincère).


L’après-midi du 22 juillet, conseil municipal d’Hyères. A l’ordre du jour, le projet d’extension du Parc national de Port-Cros. Le maire d’Hyères, Jacques Politi, défend le projet. Le conseil municipal vote «Pour» à l’unanimité, y compris le maire, Jacques Politi...


Comment Jacques Politi peut-il sans être politiquement schyzophrène voter ainsi à l'opposé sur le même sujet à deux heures d’intervalle  selon l’assemblée à laquelle il participe?


Et le plus fort pour la fin: notre vice-président de TPM, maire d’Hyères, Jacques Politi, lui qui s’était engagé devant nous les électrices et les électeurs, à ne jamais cumuler les mandats,  ... est aussi Conseiller général du Var. Et le Conseil général s’est prononcé récemment contre le projet d’extension du Parc national de Port-Cros, comme TPM.



Qu’a donc donc voté Jacques Politi?



C’est ce que l’on appelle un homme sincère et de conviction... ou bien une girouette schyzophrène?

samedi 12 novembre 2011

Alain Jaubert futur candidat aux législatives?

Alain Jaubert sera-t-il candidat aux législatives? L’ancien responsable départemental du Mouvement des Citoyens (mais si souvenez-vous, il s’est prétendu de gauche avant de pencher très très à droite avec Jacques Politi) va-t-il se déclarer?


A un gag national, la candidature de Jean-Pierre Chevenement son ex-mentor (le nouveau étant Jacques Politi), s’ajouterait ainsi un gag local.


A moins que Jean-Pierre Chevenement qui a l’habitude des changements de camp ne soit devenu dans l’intermède sarkoziste, hollandais, jolyiste, mélenchoniste ou encore nouvel adepte de Poutou!



mercredi 9 novembre 2011

Chapeau bas

En ces temps climatiquement difficiles pour le Var et pour Hyères, témoignons notre solidarité et rendons un hommage appuyé aux sapeurs-pompiers, volontaires et professionels, aux services techniques municipaux et aux services de police et de gendarmerie, aux élus de tous bords qui ont su faire taire leurs divergences face à la tempête.


N’est-ce pas un climat de grâce ? Et s’il perdurait aux intempéries?

Jacques Politi: Les pitres, piètres blogueurs



La dernière «revue de web» de Var-Matin (27/10/2011) nous a bien fait rire: il s’agissait de présenter les blogs «des politiques locaux sur la toile».


La palme de l’humour vache revient à Fred Dumas présentant le compte Twitter du maire Jacques Politi avec un titre évoquant le comportement très enfantin de Jacques Politi qui confond souvent le conseil municipal avec la cour de récréation d’une école maternelle : «le maire gazouille!»...

Depuis le 6 septembre, le maire, dont on connaît l’activité municipale débordante -notre blog peine à faire le compte de ses réalisations et le bilan de mi-mandat tant annoncé a fait plouf dans le Roubaud -, a ainsi péniblement publié 11 messages de 140 caractères, s’émerveille Fred Dumas...

Messages très personnels au demeurant: agenda officiel (a priori peu chargé donc) et des articles du fidèle Var-Matin dont le premier est l’annonce de l’échec de Jacques Politi d’obtenir une investiture pour les législatives.


Fred Dumas a des trémolos dans la plume en listant ensuite les fonctions du maire cumulard qui avait tant affirmé que «Hyères n’avait pas besoin d’un maire conseiller général»: Maire de la ville d’Hyères-les-Palmiers, vice-président de Toulon-Provence-Méditerranée, conseiller général du Var.


Quant à Alain Jaubert, qui n'a plus actualisé son blog depuis plus de trois semaines, il est qualifié de «blogueur-fou» par Var-Matin, et le qualificatif lui sied bien. Et si Fred Dumas ne remarque pas qu’il utilise à des fins de propagande personnelle le logo de la ville, on s’interroge comme tous les électeurs sur l’étiquette de conseiller municipal républicain de gauche dont il est affublé...

Fred Dumas ne ferait-il donc que recopier ce qu’on lui dicte? Nous ne pouvons pas le croire!

Il aurait pu titrer avec nous son papier: les pitres, piètres blogueurs!

lundi 7 novembre 2011

La Mairie Réalités : un programme de gaspillage à 3 000 000 €


Ce pourrait être le nouveau programme de téléréalité d’une chaîne telle que TF1 ou M6. C’est tristement le seul programme électoral de Jacques Politi et Christine Pilon sa vraie-fausse 1ère adjointe (3e adjointe en titre) et directrice de cabinet, fondatrice de l'association La Souche Hyéroise...


Trois millions d’euros (3 000 000 €) de nos impôts, sur 3 ans, vont être investis dans des caméras de surveillance ultraperformantes (Var-Matin du 26 octobre 2011). 3 000 000 € qui auraient pu être investis dans un Hôtel des Associations, un Conservatoire de Musique, ou encore deux ou troix crèches... Mais le Maire a ses priorités qui ne correspondent pas forcément à celles de ses concitoyens.



Pour  quoi faire? Aucune augmentation de l’insécurité à Hyères, notre ville est connue pour sa tranquillité.

D’ailleurs quelle est l’affaire qui a été résolue à Hyères grâce à une caméra? Aucune. Les effectifs de la police municipale, aux magnifiques locaux de l’ancien collège Jules Ferry, sont déjà largement suffisants, notamment en centre-ville, et près de la mairie.

Même le journaliste Fred Dumas, très en faveur de Jacques Politi s'interroge subtilement dans son article : "Leur nombre [des caméras] n'est-il pas déjà suffisant?". Ce qui sous sa plume équivaut à une charge très violente...


Car derrière les caméras, il faudra des hommes.


S’ils ne peuvent traquer une insécurité inexistente, que feront-ils de toutes les images qu’ils vont enregistrer et scruter de notre vie quotidienne? Qui embrasse qui, qui se promène avec qui? Qui entre chez qui? ... Qui va donc contrôler l’utilisation de ces images?

C’est tout le programme électoral de Jacques Politi et Chrisitine Pilon: gérer une immense émission dont nous serons toutes et tous les acteurs malgré nous et dont ils seront les uniques spectateurs: Hyères va devenir le royaume de Big Brother et Georges Orwell l’auteur du roman 1984 sera renvoyé au rôle d’aimable plaisantin du passé.

Et quand vous verrez une de ses caméras, prenez-en grand soin, découvrez-vous pour qu'elle serve un peu, car elle vous aura coûté presque 70 000  euros! 

jeudi 3 novembre 2011

Roux inaugure sans déménager, Giran déménage sans inaugurer

Curieux concours de circonstances: la même semaine Francis Roux annonce “inaugurer”(sans avoir emménagé dans un nouveau local!) sa permanence vendredi 4 novembre, cherchant ainsi peut-être désespérément un nouveau souffle, alors que Jean-Pierre Giran fait savoir qu’il a déménagé pour installer sa nouvelle permanence dans un bel immeuble ancien de la place Clemenceau (9 rue du docteur Roux-Seignoret), mais n’annonce aucune inauguration. Du moins pour l’instant.

Roux la cigale et Giran la fourmi? A quel traiteur feront-ils appel en ces temps de crise? Au fameux Matyasi comme le dépensier Jacques Politi?

Ou mieux sauront-ils s’allier pour faire qui l’emménagement qui l’inauguration?

mercredi 26 octobre 2011

Jacques Politi fait affront à la Justice

Les avocats doivent, consécutivement à leur prestation de serment, participer à un concours d'éloquence.

Jusqu'à présent, cette manifestation de prestige se déroulait au théâtre de Toulon. Elle se termine par un cocktail.
Les plus hautes autorités départementales et régionales y assistent : les élus, les présidents du Tribunal de Grande Instance,  du tribunal Administratif, le Procureur et ses substituts, les Bâtonniers des barreaux de la Cour etc…
Le 30 septembre dernier, pour la première fois le barreau de Toulon organisait cette manifestation, dans notre bonne ville d’Hyères, au Casino, avec environ 400 personnes.
Devant tout ce beau tralala, que croyez-vous qui arriva? ...  Une simple conseillère municipale la Ville représentat.
De Maire, Jacques Politi, ou même d’adjoint, il ne parut point.
Devant un tel affront, juges et avocats à Toulon s’en retournèrent, et promirent qu’à Hyères on les y reprendrait plus!

lundi 24 octobre 2011

La poutre de Jacques Politi


Renée Tornato fut de 2008 à 2011 conseillère municipale dans le groupe de Jacques Politi et déléguée à la santé. François Carrassan fut pendant la même période son premier adjoint et celui qui a rédigé son projet. Tous les deux ont marqué leur désaccord profond avec la politique et le comportement violent et irrespectueux des Hyérois de Jacques Politi.
Ils ont démissionné de leurs fonctions et des revenus afférents, ce qui reste un geste courageux. Ils ont souhaité, comme c’est leur droit, créer un groupe d’opposition pour défendre avec Jean-Pierre Giran, Francis Roux et le docteur Noyer les intérêts des Hyérois. Mais c’est sans compter sur l’ire de Jacques Politi qui s’est donc fendu de l’un de ses inénarrables communiqués de capricieux dans Var-Matin :
  •  « François Carrassan se prend pour un homme de culture » (il ne le serait donc pas selon Jacques Politi) : c’est vrai qu’en la matière le maire est une référence : on se souvient dès son élection de son empressement à tenter de démanteler la médiathèque, nous avons tous lu les nombreux livres de Jacques Politi et ce blog est un florilège de ses bons mots toujours emprunts d’une grande culture : « la critique est facile, l’art est difficile ».
  •  « François Carrassan n’a pas réapparu au Conseil municipal car, depuis sa démission, les impôts des Hyérois financent un élu fantôme » : outre le fait qu’il a abandonné des revenus de plusieurs milliers d’euros par mois liés à ses anciennes fonctions de premier adjoint et que l’on peut comprendre qu’un homme aussi peu cultivé que François Carrassan trouve difficile de sièger pendant deux heures avec un homme d’une aussi grande culture que Jacques Politi, on ne doit pas oublier que certains conseillers municipaux du groupe Politi pointent aux abonnés absents. A-t-on souvent vu entre 2008 et 2011 Philippe Olivier au conseil municipal ? Pourquoi Jacques Politi a-t-il cautionné et payé avec nos impôts un conseiller fantôme dans son groupe ?


C'est vrai que Jacques Politi n'est pas inscrit à la Médiathèque de feu Léopold Ritondale (dont François Carrassan était l'ajoint à la Culture)...

vendredi 21 octobre 2011

Hyères, tombeau de la justice et de la culture

On le note dans Var-Matin: la réfection de la fontaine Gallieni s’est faite au mépris des règles d’urbanisme, sans l’avis pourtant obligatoire de l’Architecte des Bâtiments de France!

Var-Matin nous informe aussi du coût exhorbitant : 120 000 euros! Pendant ce temps-là il manque 110 000 euros dans la lutte pour la sauvegarde des palmiers...


Et oui à chaque maire ses priorités: pour Jacques Politi, c’est la fontaine Galliéni  symbole de la Justice éclairée, que l’on habille d’une pierre tombale, et comme pour un enterrement, on fleurit son tombeau.

Il faut dire que Jacques Politi a en quelque sorte été le fossoyeur de la justice de proximité à Hyères: il a poussé le médiateur de la République à fermer ses portes.

Dans le domaine culturel, après l’abandon du conservatoire, qui devrait plutôt être construit dans l’ouest toulonnais, et celui de l’hôtel des associations transformé en chapiteau de cirque, voilà que le maire Jacques Politi vend, sans même faire une plus-value, l’ancien commissariat, la villa Sainte-Anne, à des promoteurs plutôt que d’en faire un lieu culturel (pourquoi pas l’hôtel des associations?).

Motif : trop de culture à Hyères!

Bon c’est vrai, reconnaissons-le la culture force à réfléchir, et dans la municipalité...

jeudi 20 octobre 2011

Jacques Politi : Courage, fuyons!



On disait le parking de l’ancien Leclerc désaffecté. Et bien pas du tout, puisque selon Var-Matin du 18 octobre, il accueille depuis dimanche les caravanes des gens du voyage.

Cette occupation sauvage laisse sans voix M. Politi, lui qui s’était tant vanté l’année dernière d’avoir définitivement résolu les problèmes d’accueil des gens du voyage : il a étrangement laissé monter Mme Pilon seule au créneau.

Sa devise est dorénavant bien connue : “Courage, fuyons!”

mardi 18 octobre 2011

Jacques Politi président du Festival des Has-Been


Entre 1965 et 1983 le Festival international du jeune cinéma fit la renommée d’Hyères sur le plan culturel. Sur Wikipédia, à l’article « cinéma expérimental » on peut ainsi lire que « la manifestation pionnière du genre fut, en France, le Festival International du Jeune Cinéma de Hyères (1965-1983) 23, qui programmait, à l’origine, des œuvres de tous formats issues des cinématographies émergentes (nouvelles vagues tchèque, brésilienne, premiers essais de Philippe Garrel). Dès le début, des films expérimentaux y furent présentés. En 1973, une section spéciale, dénommée Cinéma différent, fut créée dans laquelle, durant une décennie, ont pu être montrées, tous les ans, de grandes variétés de films expérimentaux (appelés, aussi, différents) en provenance du monde entier. Marcel Mazé, le délégué général de la section Cinéma différent de Hyères, et président du Collectif Jeune Cinéma, initia, en 1999, avec d’autres cinéastes et cinéphiles, le Festival des cinémas différents et expérimentaux de Paris, entièrement dévolu au genre, et qui introduit, pour sa douzième édition (en décembre 2010), une section compétitive. Ce festival est une émanation du Collectif Jeune Cinéma, organisme qui programme, aussi, des séances régulières et édite le trimestriel étoilements. ».
Ce festival fut arrêté à la suite des élections municipales de 1983. Un pharmacien des Rougières du nom de Jacques Politi, conseiller municipal tout juste arrivé à Hyères, vota la décision politique d arrêt de ce Festival. 
Imaginez-donc : Marguerite Duras dans le jury, c’était vraiment trop pour Hyères. Philippe Garrel, Maurice Périsset… trop grands personnages pour Jacques Politi.
Alors quand Jacques Politi décide de faire croire aux Hyérois que son festival de cinéma (il n’a pas osé écrire festival du cinéma sur son blog), assez minable, se situe dans la continuité de celui des années 1960-70, pour qui nous prend-t-il ? Carrassan a bien raison de lui attribuer la palme du grotesque lorsqu’il singe Cannes en organisant une montée des marches au Casino (sur invitation « VIP et Officiels » comme c’est écrit sur l’affiche). Pour qui se prend-t-il ?
Franchement entre-nous, Politi a-t-il quelque chose à voir avec Robert De Niro ?
En regroupant dans son festival 22 petits courts-métrages (1 par région métropolitaine, l’outre-mer a été oublié), les acteurs les moins connus et ceux qui n’ont plus tournés depuis une vingtaine d’année, Jacques Politi a voulu se faire un petit plaisir, se prendre pour un « grand », mais il a surtout été le président du Festival des Has-Been. Et tout cela, avec 250 000 de nos euros, plus de 11 000 euros par film de 8 à 30 minutes. Cela fait combien la minute, 1000 euros ?

jeudi 13 octobre 2011

Patrice Millet victime des caprices de Jacques Politi?

Patrice Millet victime des caprices de Jacques Politi?

Tous les bruits en mairie font état du prochain départ de Patrice Millet, le directeur général des services de la ville, à peine arrivé dans le courant de l’année.

Nous avions fait état de ses ambitions municipales pour Narbonne. Mais le calendrier - on parle d’un départ en décembre - ne peut pas justifier le départ de Patrice Millet. Pourquoi partirait-il si tôt?

Si ces bruits s’avéraient confirmés, deux records seraient battus:
- celui du directeur général des services le plus météorite qui ait jamais été;
- celui du nombre de Directeur général des services par mandat (1 par an!).

Après Bérenguier, Carrié et Millet, quelle sera la prochaine victime des caprices de Jacques Politi?

mercredi 12 octobre 2011

Jean-Pierre Giran, parfois par intermittance

Les milieux bien informés s’étonnent de ce que Jean-Pierre Giran, député et conseiller municipal d’Hyères, parte souvent de façon prématurée des réunions auxquelles il participe. Certains ont remarqué qu’il quittait la séance avant la fin des conseils municipaux et qu’il était le 1er à partir des manifestations auxquelles il assiste.

Certains balancent entre le niveau insuffisant de ses contradicteurs ou pour une marque d’indifférence par rapport au débat.

D’autres, notamment un médecin bien connu du conseil municipal, attribuent ces départs anticipés à des problèmes de prostate.

Les derniers enfin estiment qu’il démontre par là qu’il faut mettre fin au cumul des mandats.

Devant ce dilemme, seul l’avenir ou l’électeur jugera.

mardi 11 octobre 2011

Francis Roux l’orphelin de Borloo

Francis Roux a tout misé politiquement sur Jean-Louis Borloo. Josy Chambon, dont on sait la proximité qui les unit, a été nommé responsable du Parti Radical sur Hyères.

Et, ... plouf! Au moment où il pensait que cet investissement allait enfin fructifier, que croyez-vous qu’il arriva? Ce fut Borloo qui se barra!

Décidément la décision de Jean-Louis Borloo aura eu des effets radicaux jusqu’à Hyères.

lundi 10 octobre 2011

Alain Jaubert et la primaire socialiste

Alain Jaubert aurait finalement voté lors des primaires malgré sa prise de position contre le procédé, qu’il jugeait sans doute trop démocratique en le qualifiant d' "affront contre les militants" (Var-Matin du 28 juillet 2011).

En effet les militants de la section locale du PS ont trouvé dans l’urne lors du dépouillement une enveloppe contenant un bulletin au nom de ... Jacques Politi!

François Hollande et Martine Aubry ont du avoir très peur!

mercredi 28 septembre 2011

Les indiscrétions d’Hyères et de demain

En proposant au conseil municipal de financer sa plainte personnelle contre notre blog, Jacques Politi a voulu nous intimider en bombant le torse et surtout il voudrait bien nous faire taire. Et bien il s’est trompé !


Plus que jamais nous allons passer au crible de l’ironie et de la satire sa politique et son comportement. Car il n’y a rien de diffamatoire à souligner le fait que les actes de Jacques Politi contredisent presque toujours ses paroles.



Quand il dit vouloir réserver le HFC aux Hyérois et qu’il commence par y placer des « estrangers » !

Quand il monte des murs à la gare pour les détruire avant de les remonter !

Quand il présente son chapiteau pour les associations comme un succès alors qu’il signe une fois de plus une défaite en rase campagne par son inaction et son isolement au sein de TPM.



Quand il fait volte-face sur le Parc de Port-Cros, lui trouvant toutes les vertus après avoir en des termes violents dénoncé tous les défauts.

Quand il use et abuse des directeurs généraux de service, de l’urbanisme, de la communication, du tourisme, du personnel, de collaborateurs de cabinet et nous en passons, établissant un record d’instabilité dans la gestion d’une collectivité territoriale. Cela a commencé dès son élection avec la mise en cause des personnels de la médiathèque.



Quant à ceux qui, au conseil municipal, l’ont accompagné dans le vote, nous ne manquerons pas de souligner bientôt leurs incohérences.

Un premier exemple : Alain Jaubert. En 2009 dans Var-Matin il traitait l’action de Jacques Politi de « mollasse, insipide, … sans saveur »... 

Il concluait: «les Hyérois vont devoir patienter ou espérer un miracle... La Ville ne mérite pas çà.»

Et pourtant aucune plainte n’a été déposée par Jacques Politi contre lui! Il est vrai que l’auteur de ces critiques assassines s’appelait Alain Jaubert et qu’il a depuis été «transféré» pour devenir le plus fidèle zélateur de Jacques Politi !

En fait dans cette ambiance de cirque nous devons employer un vocabulaire de clown.

Jadis Jaubert c’était Auguste, celui qui fait rire avec son gros nez rouge. Maintenant Jaubert c’est Pierrot, celui qui fait pleurer avec son teint blafard.

Alors nous poussons un cri: «rendez-nous le vrai Alain Jaubert»!

samedi 24 septembre 2011

Le nouveau logo des Indiscrétions




Pour une fois Jacques Politi avait presque raison. Nous avons pris acte de ce que le conseil municipal considérait l’utilisation du logo de la ville comme frauduleuse sur la page Facebook qui relaie notre blog.

Or il se trouve que nous n’utilisions qu’indirectement le logo de la ville. En effet le logo qui apparaissait n’était qu’un lien depuis le blog personnel d’Alain Jaubert, qui lui utilise justement sur son blog personnel le logo de la ville. 

Le  conseil municipal condamnera-t-il Alain Jaubert pour l’utilisation frauduleuse du logo de la ville à des fins de propagande personnelle ? 

En tout cas pour notre part, nous avons créé notre propre logo.

mercredi 14 septembre 2011

Jacques Politi chasse les vrais Hyérois du HFC en fonction de ses intérêts personnels




Dans une de ses interviews ridicules amusantes qu’il aime donner à Var-Matin, Jacques Politi s’est lâché cet été en faisant passer dans le journal une série d’articles au teasing palpitant sur le thème éculé et sans aucun sens de « Hyères aux Hyérois », décliné  en « Le HFC aux Hyérois ».
Il s’agissait de refuser un investisseur qui aurait été indépendant, extérieur, comprendre hors du contrôle de Jacques Politi. Crime de lèse-Politi !

Jacques Politi a la mémoire sélective : c’est lui, Jacques Politi, qui a chassé, en les humiliant, les vieux Hyérois fidèles serviteurs du HFC qu’étaient Gérard Daziano, Decugis et Patrick Bruzzichessi.
Et Migeon, à qui Jacques Politi avait confié la présidence du HFC (il a depuis démissionné), n’était-il pas lui-même de Saint-Etienne ? Il n’était pas de Hyères. Pourquoi alors Jacques Politi chasse-t-il les vrais Hyérois pour recruter un Stéphanois tout en disant « Le HFC aux Hyérois » ?

Incohérence du discours, variable selon les intérêts de Jacques Politi et pas de ceux du HFC, incohérence et vide politi-que.

mardi 13 septembre 2011

François Carrassan : une âme de rocker

Nous avons pu retrouver la perruque que portait François Carrassan quand il est venu embrasser Eddy.



Toujours lors du Festival d’Hyères, on nous a rapporté que l’on aurait vu François Carrassan venir embrasser Eddy, déguisé en rocker, cuir noir, santiags et même avec une  perruque en forme de banane. François Carrassan cacherait-il une âme de rocker ?

Giran sur la route de Memphis




Lors du Festival d’Hyères début août, on a vu Politi, Roux et de nombreux élu(e)s. En revanche on n’a pas vu Jean-Pierre Giran. A-t-il eu peur d’être victime des blagues de Canteloup ou était-il sur la route de Memphis ?

samedi 10 septembre 2011

Jacques Politi se dégonfle comme une baudruche

Illustration Vimar rsscorner.com



Var-Matin le présente une « bonne nouvelle » : le maire Jacques Politi pourrait soi-disant exaucer le vœu attendu depuis si longtemps : une maison des associations, le temple de la vie associative.

Il faut dire que c’était le grand projet du mandat de Jacques Politi : « établissement d'un hôtel des associations en bas de l'avenue Gambetta, d'un Conservatoire national de région, transfert des archives municipales et de la Police municipale et des services Sécurité et Lien social » dans l’ancien collège Jules Ferry (Journal municipal « Hyères magazine » n°117, septembre-octobre 2008, p.2).

A l’exception de la police municipale, le Conservatoire National à Rayonnement Régional (CNRR) financé par TPM a été abandonné à Hyères, bien que Jacques Politi soit, paraît-il, Vice-Président de TPM et conseiller général. Les Archives municipales restent dans leurs locaux malcommodes du Park-Hôtel, et le projet mirifique d’Hôtel qui faisait rêver les Associations a été totalement abandonné.

Alors quelle bonne nouvelle promet donc Jacques Politi aux Associations ? Une structure gonflable ! Oui vous lisez bien, et les Associations en sont scandalisées : un chapiteau gonflable, une baudruche à Hyères. Telle est la vraie politique de Jacques Politi qui tente comme il le peut de masquer son incompétence, son isolement et son inaction.

Le bilan de mi-mandat qui se prépare pour la fin septembre sera cela : la politique baudruche.

En 2008, toujours dans le magazine municipal il promettait des logements à prix modérés pour les jeunes Hyérois : que leur proposera-t-il ? Des tentes ?

Jacques Politi ne serait-il finalement pas simplement une grenouille politique ?