Baptême du feu médiatique après les cantonales pour Pierre Philip, candidat PS avoué à la mairie d’Hyères.
De celui qui se pose en sauveur de la gauche locale et de la ville (pas moins), l’on attendait de grandes idées struturelles sur le futur d’Hyères.
Et bien rien, que l’annonce d’un «mécontentement»! On pouvait s’attendre à mieux, à un esprit rassembleur, une force de proposition, et voilà qu’il nous sert la soupe du militant aigri et de l’homme satisfait de lui-même qui balance de bons mots et calembours, plus ou moins réussis, sur les uns et les autres. En tant qu’électrices, nous nous attendions à mieux.
Le plus fort pour un homme de gauche c’est de faire de sa naissance un argument électoral. Finalement ne joue-t-il pas le jeu de Jacques Politi et de Christine Pilon, fondatrice de «La Souche Hyéroise», directrice de cabinet de Jacques Politi, 3e adjointe en titre (1ère adjointe officieuse)? En tout cas ce n'est pas très républicain.
De celui qui se pose en sauveur de la gauche locale et de la ville (pas moins), l’on attendait de grandes idées struturelles sur le futur d’Hyères.
Et bien rien, que l’annonce d’un «mécontentement»! On pouvait s’attendre à mieux, à un esprit rassembleur, une force de proposition, et voilà qu’il nous sert la soupe du militant aigri et de l’homme satisfait de lui-même qui balance de bons mots et calembours, plus ou moins réussis, sur les uns et les autres. En tant qu’électrices, nous nous attendions à mieux.
Le plus fort pour un homme de gauche c’est de faire de sa naissance un argument électoral. Finalement ne joue-t-il pas le jeu de Jacques Politi et de Christine Pilon, fondatrice de «La Souche Hyéroise», directrice de cabinet de Jacques Politi, 3e adjointe en titre (1ère adjointe officieuse)? En tout cas ce n'est pas très républicain.